Expression politique

Groupe majoritaire Auby Pour un Nouvel Élan

Chères Aubygeoises, Chers Aubygeois,
Nous y sommes ! Encore une promesse tenue !

Comme nous nous y étions engagés en 2020, le taux communal de la taxe foncière, présent sur les feuilles d’impositions des Aubygeois, est bel et bien passé en dessous de la barre des 40%, s’établissant dorénavant à 39%. Pour rappel, il y a 5 ans, le taux était de 43,94%,
constituant le taux le plus élevé des villes du Douaisis.
En actionnant ce levier vers la baisse, cette mesure relevant d’une volonté politique vise un double objectif : redonner du pouvoir d’achat aux propriétaires Aubygeois et donner à notre ville les moyens de gagner en attractivité.

Nous sommes tout à fait conscients que l’augmentation notamment des bases locatives par l’Etat ne permet pas de constater une baisse significative de l’impôt foncier pour les Aubygeois qui doivent s’en acquitter. Notons tout de même que l’effort communal leur
permet de ne pas voir le montant de cette taxe exploser davantage.

Dans le même temps, l’endettement municipal a été quasiment divisé par deux passant de 17,5 millions d’€uros en 2019 à moins de 10 millions d’€uros en 2025.
Cette gestion responsable des deniers publics n’est que le fruit de notre volonté de retrouver, coûte que coûte, une situation financière saine et stable. Incontestablement, nous sommes sur la bonne voie.
Cela est d’autant plus vrai, que cette année, 8 millions d’euros d’investissements ont été engagés sans avoir recours à l’emprunt.

Il est aussi important de noter que les services en direction de la population ont été maintenus, améliorés et même créés tels que le plateau repas de Noël pour nos aînés, la pérennisation de l’action « cantine scolaire à 1€ », etc…
Cela est factuel, le reste n’est que baliverne.

Groupe Ensemble Naturellement

Mépris.
Comme dans une fuite en avant, notre commune est livrée à une forme de vandalisme urbain .
Chacun peut le constater.
On démolit ce qui aurait pu, qui aurait dû être rénové, des barrières de chantier son érigées sans que l’on sache pourquoi.
Là où des logements devaient répondre aux besoins le vide s’installe.
Mais quelle est donc cette furie qui s’installe alors que rien n’a été annoncé, expliqué ?
Il n’y avait rien à espérer de C. Charles qui n’avait pour seul projet de réduire à néant ce qui avait pu être imaginé avant lui.
Il n’y a rien à espérer désormais de son successeur pourtant candidat à un nouveau mandat mais qui refuse de s’en remettre au choix des électeurs.
Car monsieur Czech, désormais maire et candidat, vous pouviez faire de toutes ces destructions un thème de votre campagne à venir.
Vous pouviez aller au devant de la population expliquer, débattre.
Mais non, vous vous obstinez dans une politique de la terre brûlée.
Après moi le déluge.
Vous oubliez au passage que ces biens, vous n’en disposez pas comme bon vous semble, ils sont ceux de la communauté aubygeoise.
Et vous lui devez des explications.

Groupe minoritaire socialiste

Aujourd’hui, le désintérêt et la défiance ont gagné les citoyens à l’égard des élites politiques qui ne parviennent pas à traiter un certain nombre de problèmes (inégalités, crise environnementale, dégradation des services publics,
pouvoir d’achat…). ils se détournent d’un spectacle politique devenu souvent médiocre à leurs yeux.

L’hypermédiatisation et les réseaux sociaux, négligeant au passage le contexte de mondialisation, le poids des lobbys et des multinationales qui déplacent les centres de décision contribuent au discrédit jugeant que les hommes politiques sont essentiellement préoccupés par leurs intérêts personnels et le jeu politique. La procédure électorale demeure la principale offre de participation proposée aux citoyens, mais seules les électionsprésidentielles et municipales sont encore mobilisatrices.

Légitimer nos élus qui se doivent de prendre en compte sans les instrumentaliser les conclusions des Conventions
citoyennes ( fin de vie, Gilets jaunes…), inventer de nouvelles formes de participation au niveau local (budget, environnement…) assureraient un sentiment de compétence et d’intérêt aux classes populaires.

Il est urgent de les proposer aux citoyens qui doutent de la démocratie et qui aspirent à plus d’autoritarisme.